Je vis.
Par la mort qui vient
Je vis.
Par l’espoir qui coule
Par le feu qui brûle
Par les tons
Les couleurs
Je vis.
Par les parfums qui passent
Les saisons qui trépassent,
La musique de l’essence
Je vis par tout ce qui est vie
Je vis par “Je suis”
© Theo Bamara – 03-03-1999 – Publié dans « Chamts d’Amour »